La violence à l'école
Les enquêtes et les sondages d'opinion
montrent que « les actes de violence » sont en vigueur au sein des
établissements scolaires. Mais, les causes de ces actes divergent d'un milieu à
l'autre, ce qui obsède incessamment l'esprit des gens qui veillent sur le
domaine éducatif, les incitant ainsi à rechercher des solutions susceptibles
d'éradiquer cette calamité.
D'abord, la démission des parents dans
l’éducation des enfants aggravée par le chômage et la pauvreté qui les rendent
incapables d’acheter les fournitures et payer certaines taxes (droit
d’inscription, gardiennage…), ce renoncement favorise les comportements
violents à l’école et la délinquance juvénile.
Ensuite, la violence ne se limite pas aux
élèves eux-mêmes, mais elle arrive aussi à impliquer le corps éducatif, surtout
les enseignants, dans ce gouffre. En effet, l'absence de communication entre
les professeurs et les élèves, peut entraîner une certaine incompréhension qui
aboutira à des paroles ou des gestes grossiers.
En outre, l’absence ou le non
fonctionnement des structures démocratiques devant favoriser la concertation et
le dialogue amène souvent les élèves à trouver d’autres voies pour se faire
entendre.
Enfin, la surcharge démesurée des classes
scolaires engendre la violence, étant donné que les circonstances déplorables
dans lesquelles étudient les élèves ne permettent guère de s'harmoniser avec
une ambiance estudiantine normale si bien que l’intolérance et l’incivilité
règnent en maître. D'ailleurs, certains adolescents exploitent cette surcharge
croissante pour s'affranchir de toutes les règles et affirmer leurs volontés.
Ils se transforment ainsi en provocateurs intolérables.
Par conséquent, les responsables
administratifs et pédagogiques sont appelés à instaurer la stabilité et la
sureté dans les institutions puisque la violence en menace l’équilibre. En
d'autres termes, il s'avère indispensable de combattre avec détermination les
actes qui se produisent dans les écoles : le bien-être de la majorité des
élèves devrait l'emporter sur celui de l'élève délinquant et il faudrait tout
mettre en œuvre pour aider les élèves intransigeants et les ramener sur le
droit chemin.
En définitive, il est primordial de prendre
des mesures aptes à rendre à l’école sa mission essentielle et à sensibiliser
les différents intervenants à la communication et à la tolérance : « La
prévention vaut mieux que la guérison », dit le dicton.
Je m'appelle Muhammad Ayman Muhammad Abu Flous, je suis étudiant en quatrième année . département de langue française, après avoir lu sur la question de la violence à l'école et J'ai lu d'autres sujets.
ردحذفJe suis venu à ce commentaire ou à cette explication.
La moitié des adolescents dans le monde sont victimes d’actes de violence à l’école. Près de 150 millions d’élèves âgés de 13 à 15 ans ont rapporté être victimes d’actes de violence de la part de leurs pairs à l’école ou aux abords de l’école.
De par le monde, plus d’un élève sur trois dans la tranche des 13-15 ans a été victime de harcèlement. D’après les données disponibles, le harcèlement fait partie des formes de violence les plus couramment signalées à l’école.
Les enfants déjà marginalisés sont particulièrement vulnérables au harcèlement. Le handicap, l’extrême pauvreté, l’appartenance ethnique et l’orientation ou l’identité sexuelle font partie des facteurs qui aggravent la vulnérabilité des jeunes à la violence.
La violence à l’école est évitable. Dans le monde entier, des élèves font entendre leur voix pour exiger la sécurité et l’éducation qu’ils méritent. Il est temps de leur emboîter le pas.